Résumé du physique:

Miroir. Tu passes beaucoup devant cet objet. Tu en as d'ailleurs, toujours un sur toi lorsque tu sors. Tu t'observes des pieds à la tête, te demandant comment tu allais bien pouvoir t'habiller aujourd'hui.

Même si tu apprécies globalement ton corps, tu arrives à trouver quelques petits détails qui te font complexer. Tout d'abord, ta taille. Tu atteins le mètre cinquante-cinq, que tu compenses avec des talons le plus souvent possible. Et puis, tu es plutôt maigre. Tu aurais aimé être transformé un peu plus tard. Là, tu te retrouves prisonnière d'un corps qui n'a pas eu le temps de terminer complètement sa croissance. Et puis il y a ces grains de beautés, ça et là que tu trouves trop gros.. Alors qu'ils sont tout à fait normaux.

Dans ces complexes, tu arrives tout de même à y trouver du positif. Être petite et mince te donne l'avantage de pouvoir te glisser partout. Ton apparence juvénile permet d'amadouer de nombreuses proies. Il n'y a que ces grains disgracieux auxquels tu ne trouves pas d'intérêt.

Un regard tantôt joyeux, tantôt colérique. Tes fins sourcils noirs se plient, suivant le rythme de tes émotions lunatiques. Sous ses traits noirs se trouvent deux yeux légèrement en amande, sont teintés d'un étrange vert-gris. Si l'on continue, on tombe sur un nez droit, fin, plutôt ordinaire en somme. Tout comme tes lèvres, à ton image, fines, légèrement rosés quand elles ne sont pas entachées de sang. Ton teint pâle ajoute de la douceur à ton visage de poupée rebelle. Teint que tu rehausses avec un maquillage, que tu t'appliques à faire chaque jour. Tu mets un peu de couleurs sur ce blanc, sans pour autant tomber dans le vulgaire et tu vieillis habillement tes traits grâce à tes pinceaux.

De longs cheveux de jais entourent ton visage. Rarement détachés, à part pour dormir, ceux-ci font les frais de tes expérimentations capillaires. Terrain de jeu sans fin pour toi, tu aimes te coiffer, tout comme coiffer les autres, tester des coupes, des couleurs.. Mais jamais les tiens ne seront courts. Tu tiens à avoir un minimum de longueur. Ces derniers temps, tu optes pour une coupe très travaillée qui te demande un certain entretient. Une moitié de frange sur la partie gauche, tandis que l'autre est rasé à ras, formant des pointes asymétriques. Deux couettes se balancent, chatouillant de leurs pointes tes épaules, laissant à découvert tes oreilles percées aux lobes. Elles sont attachées avec des rubans qui aborderont la couleur de ta robe du jour.

Car oui, tu ne portes que des robes. Sauf exceptions bien sûr.. Pour aller courir par exemple. Les robes ou jupes, sont les vêtements dans lesquels tu te sens le plus à l'aise. Elles seront souvent dans des tons pastels, parfois simple, parfois travailler avec des dentelles, broderies ou sequins que tu auras ajoutés de tes petites mains habillent. Mais tu casseras ce côté sage, princesse, avec des accessoires en cuir. En commençant par une veste qui ne te quitte plus depuis un long moment déjà, la pièce phare de ta garde robe à tes yeux. Puis s'ajoutera, ras du cou, ou bracelet souvent dans la même matière que ta veste. Pour ce qui est des chaussures, tant qu'il y a un talon.. On est sûr de pouvoir en trouver de toutes sortes dans ton armoire !

Résumé du caractère:

Mia Mia.. Comment te décrire ? Par où commencer.. Tantôt adorable tantôt cruelle, tu es un petit paradoxe sur patte avec un caractère bien trempée et une bouche qui parle plus vite que tes pensées.

Dans ce caractère que l'on pourrait aisément prendre pour du lunatisme, il y a quand même quelques constantes. Tu es une vraie boule d'énergie. Jamais on ne te verra paresser ou ne rien faire. Non pas que tu ne le veux pas, mais cela t'es tout simplement impossible. Tu as besoin de bouger de te dépenser. A cause de ce trop plein d'énergie, combiné à une malice digne d'un diablotin, tu fatigues voir enquiquines un peu trop les gens qui t'entourent. Cependant, si tu te permets certaines familiarités avec certains, pour d'autres tu accepteras de te contenir et d'être plus sage, par respect pour eux, déversant ton flot de bêtises sur ceux qui peuvent le subir. Pour remédier à ton hyperactivité, tu cours beaucoup. C'est un exercice qui te calme, t'apaises, ne serait-ce que pour quelques heures.

Sous cette petite brute, susceptible d'ailleurs, lorsqu'on parle de ta petitesse, se cache une demoiselle très coquette. Tu n'iras pas non plus passer des heures devant le miroir, mais ton apparence a une très grande importance. Tu aimes te pomponner, choisir tes vêtements avec attention et bien sur, te coiffer, souvent de manière originale. Être sale et dans de vieux chiffons n'est même pas envisageable pour toi, surtout après ta petite expérience d'avoir vécu dans la rue.

Tu es jolie comme un cœur et tu le sais. Ton apparence juvénile ne t'empêche pas de rouler des hanches et jouer les séductrices quand tu en as envie. Que ce soit simplement pour flatter ton ego, attirer l'attention d'une future proie ou encore faire des appels à ton crush du moment. Tu aimes attirer tel une sirène, battre des cils face aux envoûtés et les jeter comme des chaussettes sans remords la seconde d'après. Même si tu donnes l'impression de cœur d'artichaut, il n'en est en réalité rien. Au fond de toi, tu es une grande romantique et tu accordes beaucoup d'importance sur le faite d'aimer, avant d'aller plus loin dans une relation intime.

La qualité sur laquelle tout le monde peut se mettre d'accord, c'est que tu es très persévérante. Peut-être même un peu trop. Lorsque tu as une idée en tête, impossible de t'arrêter. Tu n'acceptes pas l'échec et quel que soit le but que tu t'es fixée, tu t'y tiendras coûte que coûte. Si malgré tous tes efforts tu n'y parviens pas.. Alors, tu rentreras dans une colère noire, à l'image d'un enfant qui n'a pas eu ce qu'il voulait. Tu tapes du pied et des mains dans les murs. Mauvaise foi et sarcasme sont au menu pour celui qui ose te parler lorsque tu es dans cet état. Tant pis si tu blesses. Tu piétines sans vergogne les mains qui te sont tendues. C'est pour ça que lorsque tu es ainsi, tu t'isoles, loin de tous. Tu ne veux pas blesser les membres de ta famille avec ton caractère de cochon.

En parlant de ta famille.. Dans ta vie, il n'y a qu'eux qui compte pour toi. Ils t'ont accueillit, élevé, nourrit, logé, choyé. La famille avant tout, tu n'hésiterais pas une seconde à te sacrifier pour eux. Malgré les tensions qui règnent entre certains membres, tu te tiens à t'entendre avec tout le monde et tente d'apaiser comme tu le peux ces dernières. Pour toi, il est important que vous soyez tous soudés, pour le bien de votre famille. Tu es tout de même bien plus fidèle aux chefs du groupe, exécutant chacun de leur ordre sans poser de questions. Tu les suivrais aveuglement jusqu'au bout du monde.

Bien, tout ça, c'était surtout la partie que ta famille connait. Mais il y a une autre facette de toi qui en ferait frémir plus d'un. En effet, tu n'es pas dans le clan des Assoiffés pour rien. Ne vous fiez pas à sa bouille adorable et de son comportement enfantin lorsqu'elle vous approche, humains. Tu leur feras vivre le pire moment de leur vie. Tu ne te contentes pas de mordre pour te nourrir. Non. Tu fends la chaire, la déchiquette, te gaves et te délectes de la peur de tes victimes. Il t'en faut toujours plus, alors tu n'hésites pas à avoir deux pauvres mortels sous ta griffe. Tu t'amuses jusqu'à plus soif, mais faut-il encore que cette soif arrive à être satisfaite..

(En cours)



#interetloisir#



Servir au mieux ta famille, ne pas la décevoir, devenir plus forte pour pouvoir tous les protéger

         

Sur la puce ? T'approches pas d'moi avec ça où j'te casse la bouche.

Sur les autres races ?

Humains : Tantôt bouffe, tantôt copain

Vampires : M'en fous

Lycans : M'en fous

Succubes : Je préfère pas les approcher

Ton histoire commence au sein d'un foyer, situé dans une petite ville non loin de la capital. Tu n'étais pas vraiment prévu au programme pour tes géniteurs. Cela faisait quelques années que ta mère et ton étaient ensemble, mais le feu de leur amour s'était vite essoufflé. Ils restaient ensemble par confort, pas habitude. Alors, même s'ils ne s'aimaient plus vraiment, tu restais une bonne surprise. Ils s'étaient mis d'accord pour rester encore quelques années de plus ensemble, jusqu'à ce que tu voles de tes propres ailes.

En soit, tu as passé une enfance normale. Tu étais une petite fille très joyeuse, sociale, avec un poil d'hyperactivité. Tu ne manquais de rien, tes parents veillaient à ce que tu t'épanouisses le mieux possible. Malgré toute cette normalité, tu sentais bien que quelque chose ne tournait pas rond. Pourquoi papa et maman ne se comportaient pas comme les parents de tes petits camarades ? Jamais tu ne les avais vus rire ensemble, se tenir la main, s'enlacer ou encore s'embrasser. Ils se parlaient le plus simplement du monde, échangeant seulement quelques banalités lorsqu'ils étaient ensemble.

Tu avais osé leur demander la question plusieurs fois et jamais on ne te donnait la même réponse. Maman n'est pas démonstrative. Papa n'est pas tactile. C'est juste que tu ne le vois pas. Ne t'inquiètes pas, ce n'est pas grave. Et puis, au fil du temps, tu t'étais convaincue que oui, ce n'était pas si grave. Qu'ils s'aimaient mais qu'ils n'étaient pas friands de ce genre d'attention.. Et puis toi, tu avais tous les câlins du monde de leur part. Alors.. Tout allait bien.

Et puis, un jour. Une discussion. Un mot. Divorce. Tu venais d'avoir quinze ans et ce fut comme un coup de poignard pour toi. Ton instinct ne t'avait pas trompé et ils t'avaient bel et bien menti durant tout ce temps. Tu étais furieuse. Furieuse d'avoir été trompé si longtemps. Furieuse d'avoir grandi avec l'idée que vous formeriez une belle et heureuse famille tout toujours. Furieuse que ça se finisse ainsi, sans que tu ne vois rien venir.

A partir de ce jour, tu t'étais renfermée sur toi-même. Lorsque tu adressais la parole à tes parents, cela se finissait souvent en cris, pleurs et parfois fugue. Tu traînais dehors avec une bande jeunes un peu plus vieux que toi. Avec eux, tu te sentais mieux, tu avais l'impression d'avoir une vraie famille qui, elle, ne te trahirait jamais.

Le temps n'avait pas aidé à cicatriser tes blessures et avec la période de ta crise d'adolescence, le fossé d'incompréhension entre toi et tes parents, se creusait davantage chaque jour. L'ambiance était étrange à la maison, tu vivais avec ta mère, mais ton père était revenu vivre avec vous. Viré de son travail, il peinait à en trouver un nouveau. D'un côté tu étais contente qu'il soit revenu, tu y voyais une chance que votre famille soit à nouveau comme avant.. Mais bien sûr, tu avais compris bien vite que ton souhait n'allait jamais se réaliser.

Deux ans passèrent et tu étais toujours rester figée dans cette colère perpétuelle. Tu traînais de plus en plus tard le soir dans les rues. Tout était mieux que de te retrouver à la maison. Peut-être que cette nuit.. Tu aurais dû rentrer plus tôt. Tu aurais dû te laisser te faire raccompagner. Tu aurais dû passer par une autre ruelle. Tu n'aurais pas dû te retourner avec que tu entendais clairement qu'on te suivait.. Tu aurais dû courir.

Tu te souviendras toujours de cette nuit, du moins en partie. Tu entends une voix qui t'interpelle derrière toi, alors tu te retournes, peut-être que c'est un des sans-abris que tu connais. Mais tu ne connais pas cette personne. Elle s'approche de toi, tu ne distingues pas ses traits, car ils sont baignés dans l'ombre. Même le timbre de sa voix est étrange.. Un homme, une femme ? Tu n'en sauras jamais rien. On te demande poliment si tu as un briquet. Tu acquiesces, fouillant alors dans ton sac. Et là, au moment où tu commences à chercher. Tu sens qu'on te pousse d'une force surhumaine contre un mur.

La dernière image.
Des crocs scintillant sous la lumière lunaire.
Rouge.
Noir.
V i d e

Tu te réveilles en sursaut.. Et dans la douleur. Tu sors ton portable, il fait toujours nuit, mais le matin ne va pas tarder à pointer le bout de son nez. Tu as reçu plusieurs coups de téléphone de tes parents. Tu roules des yeux en rangeant ton téléphone dans ta poche, sans prendre la peine de leur répondre. Tu te lèves avec difficulté, essayant de te remémorer ce que tu as fait cette nuit. Aurais-tu trop bu ? Ça ne serait pas la première fois.. Mais tu es presque sûr que tu n'as pas bu une goutte d'alcool hier soir..

Et puis comme un flash, la scène te revient en tête. Tes yeux s'écarquillent tandis que ta main se porte à ton cou. Rien.. Ce n'était peut-être.. Qu'un cauchemar. Tu te lèves pour rentrer chez toi. Qu'est ce qui pouvait bien s'être passé..? Tu marches avec la désagréable sensation de passer à côté de quelque chose. Tu rentres sans dire un mot à tes parents qui scandent leur inquiétude. Tu t'enfermes dans ta chambre, te laissant tomber sur le lit. Tu veux juste.. Dormir.

Les jours passent et tu restes cloîtrer au lit. Tu fais une fixette sur ce qui c'est produit cette fameuse nuit. Rien à faire.. Il manque des bouts. Tu en avais donc conclu que tu t'étais évanouie. Ce qui était en parti vrai, l'autre moitié de cette vérité c'est ton cerveau qui la bloquait volontairement. Tu as eu tellement peur et tu as tellement souffert cette nuit là qu'il a préféré scellé ces atroces souvenirs. Peut-être qu'un jour ils te reviendront.. Tout te semble étrange autour de toi, comme si tout était plus.. Fort. Les bruits, les odeurs.. C'est presque insupportable.

Et puis.. La lumière. Tu ne la supportes plus. Un matin tu t'es réveillée en hurlant, un rayon sur ta main t'avait littéralement brûlé la main. Ce n'était pas.. Normal. Dans ce monde, si tu étais intolérant à la lumière du soleil, il y avait de grandes chances pour que tu sois un vampire. Mais ça ne pouvait pas être ça.. Ça ne pouvait pas t'être arrivé à toi. Alors, ton premier réflexe fut d'essayer de manger. Tu savais que les vampires ne pouvaient pas manger de la nourriture pour les humains. La moindre bouché te dégoûtait, même des aliments que tu adorais. Tout avait un goût de cendre sous ton palais et bientôt, tu te retrouvais avec le pire mal de ventre de ta vie, jamais tu ne t'étais autant tordue de douleur.

Ta mère rentre du travail et te voit à terre, dans une flaque de vomit. Tout de suite, elle accourt vers toi, mine inquiète à tes poser beaucoup trop de questions à la fois. Tu secoues la tête, toujours cherchant à nier cette évidence. D'un coup tu repousses ta mère, la faisant se cogner contre la table en verre. Et bien évidemment, puisque le destin à un humour particulier, ta génitrice se coupe et saigne. C'est plus fort que toi, malgré tous tes efforts pour résister, tes yeux virent aux rouges et dans ta bouche tu sens tes canines changer.

Tu sautes sur ta mère et.. Tu la vides de son sang. Tu es aspirée dans un tourbillon de folie, à la fois rassasiée et assoiffée. Lorsque ton père rentra à son tour, tu te jetas avec violence sur lui, subissant le même sort que son ex-femme quelques minutes plus tôt. Tes yeux pleurent, tu veux t'arrêter, mais une autre part de toi te pousse à continuer cette atrocité.

Par terre, baigné dans le sang de ceux qui t'ont donné la vie, tu pleures. Tu pleures toutes les larmes de ton corps en leur disant que tu es désolée, que tu ne voulais pas faire ça, que tu les aimes, que tu veux qu'ils reviennent.. Mais ils ne reviendront pas. Tu finis par sécher tes larmes, vide d'émotions. Tu te laves de tout ce sang, leur sang.. Tu vas.. Partir et ne laisser derrière toi que des cendres.

Quelques jours plus tard, tu rejoins Londres. Tu te dis que là-bas, tu pourras facilement te faire oublier et te mêler à la foule. Tu te débrouilles comme tu peux, te cachant dans des squats le jour, vivant dans les ruelles sombres la nuit. Tu ne manges pas. Tu n'oses plus depuis.. Rien que d'y penser, ça te tord le ventre. A moins que ce ne soit la faim.

Le déclic fut rapidement venu lorsqu'une nuit, un groupe de trois humains t'étais tombé dessus. A la rue tout comme toi, ils voulaient s'emparer du peu que tu avais. Tu te laissas faire dans un premier temps, avant que la bête ne se réveille. Tu ne voulais pas vivre en victime toute ta vie. Manger ou être mangé, et tu avais choisi ton camp ce soir-là.

Rapidement, tu as accepté pleinement ta nouvelle condition, même si ce n'était pas tous les jours faciles. Tu n'arrivais pas à te contrôler, tu laissais simplement ta folie sanguinaire prendre le dessus lorsque tu avais faim. Tu survivais dans la rue et tu pensais que tu finirais ta vie ainsi. Jusqu'à ce que tu rencontres un homme, un vampire pour être exact. Aedan. On peut dire qu'il t'a plus ou moins sauvé la peau. On t'aurait probablement attrapé un jour ou un autre.. Il t'a emmené dans sa "famille", les Sanguinaires.

Là-bas, on t'a aidé à te contrôler, on s'est occupé de toi, on t'a nourri, logé.. Tu avais une nouvelle famille. Tu avais l'impression d'avoir trouvé ta place, celle qui t'attendait depuis toujours. Tu ne pouvais pas être plus heureuse et cette famille, si chère à tes yeux, tu t'étais promis de la protéger coûte que coûte. En particulier Aedan, envers qui tu te sentais presque éternellement redevable.

La disparition de Damian fut soudaine et t'a profondément affecté. Tu perdais un membre de ta famille et tu ne savais même pas ce qu'il était devenu.. Les autres ne semblaient pas en savoir plus d'ailleurs. Tu eus du mal à faire ton "deuil" de cette disparition, encore aujourd'hui quand tu y penses, tu as un petit pincement au cœur. Puis quelqu'un est venu pour prendre la tête de la famille. Au début, tu n'étais pas vraiment ravi de cette nouvelle.. Mais lorsque tu l'as vu pour la première fois. Cette grâce, cette prestance. Une main de fer dans un gant de velours. Tu savais qu'elle serait bonne avec vous, qu'elle serait une bonne cheffe et le temps ne t'a donné que raison.

Tu les as suivis à la Nouvelle-Orléans et tu les suivrais jusqu'à l'autre bout du globe s'il fallait le faire. Aujourd'hui, rien n'est plus important pour toi que ta nouvelle famille.

ACCEPTEZ VOUS LE DESTIN : Sans Sort
         
ÂGE : 25 ans

SURNOM : Sam

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D'AUTRES PERSONNAGES ICI ? : Samael Lucky

CREDITS : Rosemary de Pokemon

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