 |  Sofia Ashley Corbeau | | #1624 : Sofia Ashley Sam 7 Sep - 19:43 | | >Sofia Ashley    Identification ft. 2B de Nier Automata
Prénom(s) : Sofia
Nom : Ashley
Surnom : La Sirène
Race : Humaine
Genre : Femme
Âge Réel : 28 ans
Date de Naissance : 02 Novembre 2005
Âge Physique : 28 ans
Orientation sexuelle : Hétéro-curieuse / Pansexuelle
Nationalité : Anglo-Japonaise
Profession / études : Enquêtrice, consultante pour la police
Groupe : Communauté de Mawu
Rang dans le groupe : Corbeau
Si Humain, avec ou sans pouvoir : Avec
Si pouvoir, lequel ? : Persuasion.
Fonctionnement : Sofia doit avoir un contact visuel avec la personne. Les yeux dans les yeux. Quand elle parle, tout peut être interprété comme un ordre, tant sa force de persuasion est grande. Comme un contrôle sur le cerveau d'une personne qui se sentira obligé d'obéir. Par exemple, si Sofia ordonne à une personne qu'elle regarde de se jeter d'un pont, cette dernière le fera, en étant parfaitement consciente, mais ne pourra pas lutter. Elle se sentira obligé de sauter.
Inscription au Sort : Oui Physique  J'ai horreur des miroirs. J'ai horreur de mon reflet. Car ce que j'y vois ne me plait pas. Pourtant... Je suis plutôt jolie, je pense. Je porte un bandeau devant mes yeux. Ce bandeau, fait sur mesure, permet d'éviter... des drames. Je vois, mais... C'est comme si je vivais toujours dans une ambiance un peu tamisée. Alors pourquoi le mettre ? Car... Il arrive que, parfois, si je regarde quelqu'un dans les yeux et que je parle... Il obéit aveuglément. Mes yeux sont bleus, du moins quand on les voit et ce n'est pas souvent. Mes cheveux, quant à eux, sont entièrement blancs et encadrent le reste de mon visage. Mes traits sont plutôt fins, un nez en trompette et des lèvres pulpeuses. Mon sourire, quant à lui, est éclatant, radieux et... carnassier. En effet, mes dents sont devenus des crocs, suite à une opération. Pourquoi ? Car je trouve cela très esthétique et que je juge les dents humaines très peu adaptées à notre mode de vie. - Dentition de Sofia:
Concernant le reste de mon corps, je n'ai rien à envier aux autres femmes. Enfin, il faut dire, je fais tout pour avoir ce corps de rêve. Je bouffe pas de la merde, je fais du sport chaque jour, je m'entraîne sans arrêt. Résultat : Un corps fin, athlétique, musclé, taillé pour le combat. En parlant des combats... Si je me déshabille devant ce miroir, je vois des cicatrices un peu partout. Des cicatrices de couteaux, de balles, de crocs, de griffures. Bref, mon corps est la preuve que je vis avec les combats. Sinon... Je mesure 1,68cm et je pèse 58 kilogrammes. J'ai une belle poitrine, ce ne sont pas des obus, mais ce ne sont pas des cacahuètes non plus. Elle est très bien comme ça. Volumineuse et je la mets en valeur dans mes tenues. J'ai les hanches plutôt larges, de grandes jambes élancées et puissantes. D'ailleurs, concernant mes vêtements, je m'habille toujours avec des robes noires toutes faites sur mesure par un couturier. J'aime pas traîner avec les clodo dans les boutiques. Je possède également le Katana blanc de mon père et, attaché à ma cuisse, un étui qui renferme un USP Elite équipé d'une lampe tactique, calibre .45... Juste au cas où. Je suis une femme chic et élégante qui ne se gène pas pour afficher ma richesse. Mon corps, lui, est témoin de mes nombreux affrontements. Contre des lycans, vampires, succubes ou même humains. J'ai de nombreuses cicatrices qui ternissent la perfection de mon corps. Je n'aime pas les voir. Des traces de griffures, de morsures, d'armes blanches... Certains y trouvent un certain charme... Ca se voit que ce n'est pas eux qui doivent les porter. Surtout que certaines sont encore sensibles, une sensation désagréable lorsqu'on les touche. Visibles ici Caractère Blasée, dégoûtée, fatiguée, lassée, désabusée... A priori, tout ça me définit plutôt bien. Seulement si on s'arrête à la première couche, à la surface. Pour me connaître réellement, il faut creuser sous mes différentes couches qui ne servent qu'à me protéger. Alors au final... Qui suis-je ?
La Sofia blasée ? Solitaire ? Oui. Je préfère être seule, car malheureusement, je détruis tout ce que je touche. Je détruis la vie des gens, sans même le vouloir. Ma propre vie aussi. Mon don n'en est pas un, c'est une réelle malédiction. Je m'en serais passée, vraiment. Je n'aime pas la foule, je préfère rester chez moi, dans ma solitude. J'ai peur de m'attacher aux gens, j'ai peur de tout gâcher, de perdre des proches. Je peux donc avoir un caractère détestable. Cynique, voire même un peu narcissique, égoïste. A force d'être seule... Je me suis dis que seule moi compte. Cesser d'être gentille envers les gens et penser uniquement à moi. Heureusement, j'ai un métier que je peux exercer seule. Et mon don m'aide beaucoup. Savoir persuader les gens, quand on est enquêtrice... Ca aide à résoudre les enquêtes rapidement, notamment durant les interrogatoires.
Et si on gratte un peu alors ? Je suis fragile et hypersensible. Je prends très à cœur les sentiments des gens et j'ai un besoin constant d'être rassurée. Je suis capable d'aimer, je pense. Mais lorsque j'aime, c'est entièrement. Il n'y a pas de milieux. Mon amour est véritable, pur. Mon hypersensibilité fait de moi une personne émotionnellement instable. Je peux me mettre très en colère, dire des choses horribles que je ne pense pas... Mais qui peuvent être très dangereuses. Je suis capable de tout pour les personnes que j'aime, une fidélité sans limite. Un besoin de me sentir utile, de rendre service. Je suis gentille, douce et tactile. Histoire "Roy !! Arrête, je t'ordonne d'arrêter ! Ne tire pas !"
Puis un coup de feu, j'entends encore tout le sang gicler comme si on venait de jeter de l'eau par terre. Mon visage, ma bouche... Recouverts de sang. Mes mains tremblaient devant moi, l'air horrifiée par ce qu'il venait de se passer.
Je me réveillai en sursaut, pleine de sueur et la respiration saccadée. Encore le même cauchemar. Je me levai du lit pour me diriger vers mon balcon qui donnait vu sur mon jardin. Je vivais dans une villa, magnifique et grande. Pourtant, j'y vivais seule. Il n'y avait, parfois, que mon jardinier qui passait boire un verre. La femme de ménage passait tous les jours aussi, pour entretenir cette demeure. J'étais riche, oui. Très riche, grâce à mon travail, mes parents et... Une assurance vie fructueuse. Mais même si j'avais du fric à en crever, je me sentais terriblement pauvre, au fond de moi. J'étais seule et je me rongeais dans ma solitude. Par choix. Par peur.
Plus jeune, ma vie était basée sur deux choses : Mes études de droits et psychologie et mes entraînements au combat : Boxe Thaïlandaise, Kenjutsu, Tire... Mon père insistait pour que je sache me battre, que je sache me défendre, car nous vivions dans un monde dangereux. Il était anglais, un ancien soldat. Depuis, il était conférencier, psychologue, sociologue, profileur... Bref, c'était une vraie tête au service de la police et du FBI. Ma mère était Japonaise, un médecin très réputée dans l'hôpital où elle travaillait. J'avais choisie la voie de mon père, que je trouvais plus excitante. Lors de ma remise de diplôme, j'eus droit à plusieurs cadeaux que je gardais précieusement aujourd'hui. Un katana blanc, de ma mère, qui appartenait et était dans sa famille depuis si longtemps que je ne pouvais même pas dire qui l'avait reçu en premier. Mon père m'offrit mon arme de poing, l'USP .45. Et Roy, mon petit-ami de l'époque, m'offrit une bague de fiançailles.
Dit comme ça, ma vie semblait parfaite. J'allais me marier avec l'homme de ma vie, mes parents étaient fiers de moi, je venais de décrocher un diplôme qui m'ouvrit de nombreuses portes pour gagner ma vie, j'étais riche à en crever... Alors bon, je savais bien que la vie prenais toujours plus que ce qu'elle donnait, mais je ne m'attendais pas à autant. Le Karma était quand même le roi des coups de putes. Oh... Il y avait une chose que j'avais oublié de préciser. Je n'étais pas une humaine comme les autres. J'avais un don particulier. Depuis mes 18 ans, j'avais cette sensation étrange que, parfois... Je pouvais contrôler les gens. J'avais découvert ça à la sortie de la fac', un abruti qui aimait s'en prendre à Roy voulait lui casser la tronche pour une connerie... En colère, je l'avais fixé droit dans les yeux avant de lui hurler dessus de laisser mon petit-ami tranquille et de se défouler sur ses idiots d'amis. Il fit exactement ce que je dis, l'espace d'un instant... Il se tourna vers sa bande pour leur cogner dessus. Comme si je l'avais hypnotisé... Mais qu'il était toujours conscient. Dit comme ça, c'était rien de bien fou, pourtant... Cette connerie avait changé ma vie. A jamais.
Le premier retour de bâton fut en 2029. Mon père devait se rendre sur le terrain pour aider la police lors d'une enquête qui pouvait impliquer des lycans ou des vampires. Il n'était jamais rentré. Toute son équipe non plus. Un piège des créatures pour interrompre ou entraver l'enquête... Notre famille essayait de surmonter cette épreuve... Pourtant, 1 an plus tard, ma mère mourut de chagrin, emportée par la maladie. Ce fut beaucoup trop douloureux pour moi. Je perdis ma joie de vivre, mon sourire, ma bonne humeur. Malgré le soutien de Roy, je ne parvins jamais à remonter la pente. Mon compte en banque, lui, en revanche, était plein à craquer. Mes parents avaient largement laissés de quoi me faire vivre derrière eux. Mais comme on le disait souvent... L'argent ne faisait pas le bonheur. Un soir, tandis que j'essayais de noyer mon chagrin derrière un verre de vin, Roy me rejoignis.
"Hé, tu vas finir la bouteille, à ce rythme" Lança-t-il, taquin.
Je relevai mon regard vers lui.
"Je ne vais pas finir alcoolique, si c'est ce que tu sous-entends." Répondis-je sèchement.
Pourtant non, je n'étais pas ivre, loin de là.
"Je m'inquiète juste pour toi, chérie. Depuis que..."
"Depuis que quoi ? Que depuis que j'ai perdu mes parents, je ne suis plus comme avant ? C'est ça ?! lançai-je, irritée.
"Sofia... Fit-il en se rapprochant de moi Je sais que c'est dur, mais... Tu dois aller de l'avant. Je ne veux pas voir ma future femme, s'enfermer.
"Non, tu ne sais pas ! Arrête avec ton même discours tous les jours ! Tu ne sais rien !
Je savais qu'il voulait m'aider, pourtant j'étais en colère, car j'étais impuissante. Je ne pouvais plus rien faire, c'était trop tard.
"Si je pouvais les ramener, je le ferais, al-..."
"Alors fais-le !" Le coupai-je.
Et parfois, la colère et la tristesse ça faisait dire n'importe quoi.
"Tu vas te coller une balle dans la tête, pour aller les récupérer et revenir, c'est ça !?"
Mes yeux droit dans les siens. Puis le silence. Un lourd silence. Je pensais d'abord que Roy avait abandonné l'idée de me réconforter pour ce soir. Il se dirigea vers la chambre, le pas décidé. Ce fut seulement au bout d'une minute que je venais de réaliser ma connerie. Dans ma colère, je n'avais pas remarqué ce regard typique que me lançait les personnes que je pouvais persuader. Roy avait le même à cet instant. Il allait juste... Obéir. Je me levai d'un bond, envoyant la chaise contre le sol. Dans la chambre, il y avait mon arme. Je grimpai les marches aussi vite que possible, hurlant, les larmes aux yeux, essayant d'ordonner à Roy d'arrêter.
Roy !! Roy !! Arrête !"
J'entrai dans la chambre. Il avait l'arme à la main et semblait totalement m'ignorer. Comme s'il n'avait qu'un but à présent : Obéir à mon ordre. Il enfonça le canon dans sa bouche. Mes yeux s'écarquillèrent, j'hurlai de toute mes forces.
"Roy !! Arrête, je t'ordonne d'arrêter ! Ne tire pas !"
Puis un coup de feu, j'entend encore tout le sang gicler comme si on venait de jeter de l'eau par terre. Mon visage, ma bouche... Recouverts de sang. Mes mains tremblaient devant moi, l'air horrifiée par ce qu'il venait de se passer.
Il pensait réellement pouvoir se tuer pour aller récupérer l'âme de mes parents et revenir. Car je lui avais dit. J'avais tué mon fiancé. Evidemment, l'enquête fut rapidement bouclée. Un suicide. Qui pouvait se douter que moi, Sofia Ashley, était une humaine qui possédait un don ? Personne ne pouvait le savoir et, surtout, personne ne devait le savoir. Les épreuves de la vie furent trop douloureuse pour moi. Je fus incapable de garder le petit être qui grandissait dans mon ventre. Les médecins me conseillèrent de stopper la grossesse, car, à terme, elle allait me tuer. Edouard ne put jamais voir le jour.
Depuis, je portais un bandeau sur les yeux. Je ne voulais plus causer la mort de quelqu'un car ma colère me faisait dire des choses débiles. Si je masquais mes yeux, personne ne pouvait être victime de mon don. Je rejoignis les Mawu, pensant qu'ils allaient pouvoir m'aider... Mais j'avais si peur d'être entourée et de créer une catastrophe que je préférais vivre seule.
Opinions Sur la puce ?Elle s'en fiche
Sur les autres races ?Elle s'en fiche De vous à nous Prénom : /
Âge :/
Pseudo : Tsuuky ou Patate
Comment nous avez-vous connu ? : Une admin
Un parrain ? :
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Dernière édition par Sofia Ashley le Dim 8 Mar - 2:53, édité 10 fois |
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