Résumé du physique:

Un frisson finit par parcourir son échine.
Poussant un soupir, il décolla ses deux bras des bords de la baignoire pour dégager de son visage ses mèches brumes humides qui obstruaient sa vision.
Glissant un œil sur la majestueuse horloge XIXe qui trônait en haut d'un des murs, il poussa un second soupir.

Sortant de la cuve, ses pieds allèrent rencontrer le sol glacial de sa demeure. Une musique d'ambiance en arrière fond, il alla jusqu'à sa serviette, laissant derrière lui une trace humide sur le parquet. En chemin, son corps croisa la route de son reflet, il s'arrêta. Là, devant lui, dans ce miroir, il se voyait. Là, devant lui, il pouvait se contempler. Il pouvait contempler ce corps qu'il connaissait par coeur et qu'il n'avait pourtant jamais dessiné.

La première chose qu'il remarquait à chaque fois de lui-même était cette petite croix sur le haut de son crâne. En le voyant, il ne pouvait pas s'empêcher de l'effleurer du bout de ses doigts avec un petit sourire. Il devait avoir quinze ans quand il se l'était fait. Il sortait de l'école. Il voulait vite rentrer chez lui. Malheureusement, son pied droit rentra en conflit avec son pied gauche. Il tomba. Sa tête racla violemment le coin pointu d'une marche. Il en garda une petite cicatrice verticale au milieu du front. Ce fut sa créatrice qui lui apposa ce tatouage sur le front pour dissimuler cette petite marque. Un souvenir d'elle, à jamais gravé sur lui.

De ses marques du passé, cette cicatrice est surement la seule qu'il apprécie. En retirant sa main de son front, un léger voile noir alla recouvrir ses yeux bleuâtres. Son regard descendant le long de son corps pour s'arrêter sur un autre point. Sur le début d'une autre marque. Au niveau de ses côtés gauche, on pouvait voir un bout de peau avec une couleur différente. Ce bout n'était que le début d'une longue série qui continuait dans son dos, descendait sur le derrière de sa cuisse gauche pour s'arrêter au niveau du mollet. Les stigmates de l'incendie a jamais gravé sur lui. L'anomalie de son corps qui l'empêchait de se dessiner. Mordillant sa lèvre et secouant la tête comme pour chasser de mauvaises images, il se décolla du miroir pour attraper sa serviette.

Déposée sur sa chevelure, il continua sa route hors de la pièce d'eau, marchand pieds nus à même le sol glacial jusqu'à sa chambre. Il enfila ses vêtements, principalement noirs et qui faisaient ressortir encore plus la blancheur de sa peau avant de mettre ses deux boucles d'oreilles imposantes. De nouveau face à un miroir, il appréciait déjà beaucoup plus le reflet qu'il renvoyait. S'il aimait contempler les autres nus c'est que, d'une certaine manière, il n'arrivait pas à se contempler lui.

Ding, dong.
Timing parfait, son élève du soir venait d'arriver.
Tout était déjà en place pour qu'ils passent … un moment agréable.

Trivia : Corpulence « rien qui dépasse » - yeux qui virent au rouge quand il est excité – croc de taille normale – une bague autour du pouce gauche - Puce dans la nuque qu'il gratte nerveusement par moment.

Résumé du caractère:

Matheus est un artiste spécialisé dans le nu qu'il soit féminin ou masculin. Il est persuadé que toute personne sur terre possède sa beauté propre. Que chaque personne est différente et intéressante. Il ne conçoit pas l'idée de la « laideur » physiquement parlant. Toute personne possède sa propre beauté. Et lui, il aime justement capturer cette beauté des corps. Il aime passer des heures à dessiner les autres. S'il dessine les êtres nus, ce n'est pas pour se rincer l'oeil. Au fil des décennies, il a vu passer devant lui des centaines de modèles différents. Il les regarde de la même manière qu'il regarderait une lampe : d'un œil désintéressé de toutes envies charnelles et dont le seul objectif est de reporter le plus fidèlement possible les courbes sur son papier.

Il lui arrive parfois de croiser de discuter avec des personnes qui lui confient qu'elles ne pourraient pas se mettre à nu devant un autre en raison de leurs « défauts » tels que des cicatrices et autres. Il sera toujours là pour les rassurer et même mieux encore, essayer de les réconcilier avec leur corps via le dessin. L'ironie dans l'histoire, c'est que lui, il ne se dessine pas. Matheus aide les autres à surmonter leurs complexes pour compenser le fait que lui, de son côté, il est incapable de le faire. Il n'aime pas son corps. Il n'aime pas ses brulures. Il les cache. Non pas car il les trouve laides, mais car elles renvoient à un événement traumatisant de son passé qu'il désire oublier : un incendie durant son enfance. D'ailleurs, depuis ce fameux incident, le jeune vampire a une phobie prononcée pour le feu ainsi que tout ce qui peut le « bruler ».

Un autre point important à savoir : il a choisi de devenir un vampire. Mais la raison derrière sa transformation n'est pas la quête de pouvoir. Lui, son seul désir, c'est de s'améliorer en dessin. Il dessine depuis son plus jeune âge. Il possède un bon niveau, mais pas suffisant pour lui. Il est extrêmement exigeant envers lui même. Il est en quête de perfection. Et cette perfection, pour lui, n'était pas atteignante avec une simple vie humaine. Il allait avoir besoin de plus de temps, beaucoup plus. Et ce temps lui a été offert par une femme. Une femme d'une beauté sublime qui fut sa muse et bien plus durant de longues années. Elle était une vampire, il est donc devenu vampire. Si cette dernière avait été une lycane, alors il serait devenu un lycan. Ce n'est pas la race qu'il a choisi, mais la longévité.

Son seul désir étant de dessiner, Matheus se tient plutôt à l'écart des vampires plutôt radicaux et ne déteste pas les lycans. Il s'en méfie, c'est vrai, mais il ne les voit pas comme des ennemis. Il veut simplement faire sa vie de son côté en éviter de causer le moindre souci. Il respecte les humains et se fiche pas mal d'être pucé. Il faut tout de même reconnaître une chose : Matheus aime le sang. Et ce qu'il aime encore plus, c'est de le boire à la source. Cela provoque une sensation assez … jouissive ? Cependant, n'allez pas croire qu'il se jette sur les humains et les vide à leur insu. Non. Il est du genre … Poli ? Il prend sa tête la plus mignonne et demande s'il peut … se servir. Et vous savez quoi ? Bah généralement ça fonctionne.

Nombreux sont ceux qui le décrivent comme étant très « humain » malgré la réalité de sa race. Et la raison est toute simple. S'il n'a pas sombré dans la violence, c'est car il a toujours conservé ses accroches « humaines ». Etant un jeune vampire, toute sa famille proche est encore vivante. Ses deux parents, sa sœur ainsi que des oncles et tantes. Ils sont tous au courant de sa nouvelle « condition ». Bien que ses parents eurent du mal à l'accepter au départ, il a toujours eu le soutien de sa sœur. Elle a toujours en contact avec lui, à lui téléphoner, à lui envoyer des photos pour lui rappeler qu'il a une famille. La seconde peur de Matheus, c'est justement de perdre ses parents, mais surtout sa sœur. Il est conscient que ces accroches humaines sont importantes. Si elles venaient à disparaître, ne risquait-il pas de sombrer ?

En dehors de son univers professionnel, Matheus est quelqu'un qui sait apprécier les plaisirs. D'un naturel charmeur, il apprécie les compagnies nocturnes. Il lui est arrivé d'avoir plus d'un écart professionnel avec l'un de ses modèles d'ailleurs. Cependant, il s'agit toujours d'aventurettes. Il est incapable de se lancer dans une aventure sérieuse pour une seule raison : son coeur est à sa créatrice. Bien qu'il refuse de se l'admettre et que cela soit purement à sens unique, Elle continue de l'obnubiler.

Au combat, Matheus est mauvais. Il n'a pas souhaité devenir vampire pour partir en quête de puissance. Il connait les bases de la défense, mais cela ne va pas plus loin. Il aura peu de chance contre un autre surnaturel et même un humain entrainé peut le mettre au tapis. ll est plutôt du genre à négocier son cul avec sa belle gueule et ses bonnes paroles qu'avec ses poings.


Dessiner, dessiner et encore dessiner. Il veut s'améliorer et pour cela, il a besoin de temps. Il veut atteindre la perfection. Et cette perfection, il savait qu'il ne pourrait pas l'atteindre en une simple vie humaine.


Il veut atteindre cette perfection.
Mais au fond, il a un autre désir qu'il n'avoue pas, il aimerait ne plus l'aimer. Elle, sa créatrice. Il a beau faire venir de nombreux êtres dans ses draps, il ne peut pas l'oublier. Il ne peut pas se passer d'elle. Malgré ses nombreuses tentatives, à un moment donné, il finit toujours par venir vers elle.


Sur la puce ? Au fond, ça l'emmerde un peu d'être pucé comme un animal. Mais il l'accepte pour ne pas s'attirer d'emmerdes.
Sur les autres races ? Il respecte les humains. Il est méfiant envers les lycans sans pour autant les détester. Il est également méfiant envers les autres vampires notamment les "affamés" car il ne veut pas s'attirer d'ennuis. Il n'a aucun opinion sur les hybrides. Et il se pisse dessus quand il entend le terme de "chasseur".

Suffocation.

Une chaleur étouffante.
Des poussières noirâtres qui ne cessèrent de se glisser dans ses yeux à chaque fois qu'il battait un cil pour comprendre ce qui se passait.
Respirer. Si difficile. Chaque bouchée semblait être un supplice.

Force ? Elle semblait avoir quitté son corps.
Toussant pour recracher cette suie qui s'immisçait à l'intérieur de ses bronches, il parvenu à se glisser sur le côté, hors de son lit.

Les sons bourdonnaient.
Les images se succédaient.
L'air s'amoindrissait.
La douleur, elle, arrivait.

Soudain, une forme se dessinait devant lui. Floue, il était incapable de la définir. Elle paraissait si proche pourtant, ce bras qu'il leva avec peine vers elle n'arrivait pas à l'atteindre.

La poussière lui dévorait les yeux.
L'air était devenu complètement lourd.
Son bras retomba bien vite, claquant sur le sol pourtant froid de sa chambre.
Immobile, sur le côté, ses yeux regardèrent une dernière fois cette forme avant de se clore.

*******



*******

Poussant un petit gémissement, le garçon s'agita.
Ouvrant un œil, peinant à prendre sa première respiration, il regarda la plafond blanc de la pièce dans laquelle il se trouvait. Ce blanc était … différent de celui de sa chambre.
Clignant des yeux, il bougea son bras droit afin de s'en servir pour se redresser. Cependant, quelquechose semblait y être accroché. Sa vue, trouble, commençait à devenir de plus en plus nette. Un câble ?
Les petits bourdonnements au niveau de ses oreilles cessèrent aussi. Les bruits alentours commençaient à devenir audible. En particulier le « ne bouge pas » que quelqu'un lui glissa. Cette voix, il la connaissait. Il la connaissait très bien même. Pourtant, son cerveau peina à l'identifier. Il semblait fonctionner … comme au ralenti ?
« Tu es encore faible » lui glissa-t-il, toujours sur cette intonation très douce. Sa main chaude alla se poser sur son bras, le faisant frissonner légèrement. « Ton père est avec ta sœur, elle va bien. »
Et là, ce fut le flash. Toutes les images de la nuit précédente heurtèrent sa conscience. Le feu. La fumée. Les fleurs de sa sœur. Les flammes. La suffocation. La paralysie et cette silhouette qui n'était autre que ce pompier qui l'avait arraché à cet enfer.

Depuis cet instant et à jamais, l'enfant développa une peur irrationnelle pour toutes les sources de chaleur.

A partir de là, la vie du garçon bascula. Lui qui fut couvé par ses parents et apprécié de ses camarades, les choses changèrent. Et pour une seule raison : les stigmates de l'accident visibles à jamais sur sa chair. Des deux enfants du couple, il fut celui qui conserva le plus de brulures, en partie sur la partie arrière gauche de son corps. L'enfant est innocent, mais l'enfant est cruel. Rapidement, il fut pointé du doigt à l'école comme étant « différent ». On s'amusait à lui soulever l'arrière de son tee-shirt pour « les voir ». Ce que les enfants ne comprenaient pas, c'est qu'à mesure qu'on le forçait à les montrer, les images traumatisantes de cette nuit revenaient également. Il en a pleuré la nuit. Il en a fait des cauchemars. Des sursauts involontaires en sueurs au milieu de la nuit. Des tremblements incontrôlables jusqu'au matin.

Les années passèrent. Ses peurs nocturnes diminuèrent et ses cicatrices se transformèrent en un complexe. Il ne voulait pas que les autres les voient. Il portait souvent des manches longues, même en été. Lors des cours de sport, il était le seul à se changer dans les toilettes et non dans les vestiaires communs. Evidemment, des murmures s'étaient élevés et rapidement il fut ranger dans la case des « bizarres » durant sa scolarité. Ceux avec qui les « élites populaires » de la cour de récré ne voulaient pas se mêler. Cette forme d'exclusion l'affecta évidemment, mais pas de manière profonde car il trouva rapidement une échappatoire à la solitude : le dessin. Déjà avant l'accident, il s'amusait à recopier les personnages de ses dessins animés préférés.

Le matin en se levant, il dessinait.
La journée, au milieu des cours, il dessinait.
Le soir, au lieu de faire ses devoirs, il dessinait.
Cette nouvelle passion ne fut pas sans conséquence :
Ses notes baissèrent, sauf en art plastique évidemment.
Son attention en classe diminuait.
Les remarques des professeurs et de ses parents augmentaient.
La sympathie des autres élèves perturbateurs des cours, elle aussi, augmenta.

A croire que le plus attirait toujours le moins.

Il passa limite au lycée. En récompense de cette prouesse, ses parents n'y croyaient pas, ils lui payèrent des cours de dessins en espérant que cela allait « calmer » ses envies incessantes de faire courir un crayon sur un support. Ce fut un bon pari. En échange, le garçon se montra plus attentif en cours. Le lycée terminé, ses parents ne furent pas surpris lorsqu'il leur annonça voulant poursuivre ses études dans une école d'art graphique. Il ne savait pas trop encore ce qu'il voulait faire plus tard. La seule chose qui le préoccupait était de pouvoir dessiner. Pouvoir s'améliorer. Ce qu'il aimait dessiner, c'était les corps. Humains, animaux, il voulait connaître chaque secret de l'anatomie. C'est par cette attirance qu'il développa en parallèle une fixation sur les œuvres greco-romaines et sur le classicisme ou bien sur l'artiste suprême du corps : Michel-Ange.

2015. 23 ans. Encore étudiant, il décide de réaliser son mémoire sur des comparaisons anatomiques entre différents sculptures romaines. Pour cela, il fut accepté pour un stage dans une école se situant dans la nouvelle Orléans, bien loin du domicile de ses parents. L'oiseau quitta le nid pour la première fois. Ce fut là, qu'il la rencontra. Elle ne connaissait rien au dessin. Elle venait, posait pour les élèves des cours du soir et disparaissait aussitôt dans la brume. Elle était belle. Elle était irréelle. Une peau si claire et des cheveux pourtant si foncés. Un bleu glacial dans les yeux et des lèvres si rouges. Ses formes, sa morphologie, cette aisance à être contemplée sous tous les angles une fois sa robe tombée l'ensorcelait complètement. Tellement fasciné, qu'une fois son diplôme en poche, il décida de quitter New York et venir étudier ans cette même école, dans cette nouvelle ville et s'y installer. Non pas pour apprendre, mais pour la voir. Pour la dessiner. Chaque millimètre de son corps passa sous le trait de son crayon. Chaque posture. Chaque sourire. Chaque expression.

Elle le savait. Elle le savait qu'elle l'inspirait. Elle le savait qu'elle l'attirait. Et elle en jouait. Les deux se rapprochèrent en se tournant autour. D'une modèle énigmatique, elle était devenue une amie mystérieuse. D'une amie mystérieuse, elle devient une amante nébuleuse. Elle était sa muse, il était son jouet. Sans jamais poser la moindre question, il l'attendait. Elle venait au coucher du soleil, elle disparaissait au lever. Peu à peu, elle lui confia des brides d'informations sur elle. Des phrases brumeuses prononcées de manière déconstruites. Il lui fallu près de deux ans pour commencer à construire le passif mystérieux de cette femme. Deux ans à comprendre les irrégularités. Les anachronismes. Les incohérences. Une partie de lui, au fond, savait ce qu'elle était. Il avait beau fermer les yeux, les crocs ne mentaient pas. Il était sa proie, elle était son chasseur. La fin de l'idylle, le jeune homme la connaissait. Cependant, une chose était à garder à l'esprit : l'agneau s'était volontairement jeté dans les crocs de la louve.

Au tournant de ses 26 ans, cette dernière l'a transformé.

Pendant les 15 premières années de sa vie vampirique, Matheus est resté auprès d'elle. Elle s'est occupée de lui apprendre le nécessaire vital sur sa nouvelle race, ses ennemis naturels ainsi que quelques clés pour se défendre. Elle lui enseigna également à contrôler sa soif. Très tôt, ses parents furent au courant de cette transformation. Il ne pouvait pas leur mentir, il en était incapable même en habitant loin d'eux. De sa famille, ce fut sa soeur qui accepta la plus rapidement cette nouvelle réalité. Consciente du monstre que son frère était capable de devenir, elle s'est mise en tête de lui rappeler constamment qu'il avait une famille en envoyant notamment régulièrement des photos de ses neveux et nièces. Après quelques années, ses parents s'étaient aussi fait à l'idée. Ils la cautionnaient pas, mais l'amour pour leur fils était plus fort que tout.

Matheus est "conscient" que sa nouvelle situation puisse "déplaire". Il sait que certains vampires sont dangereux et que sa race est chassée par certains humains et que les lycans ne sont pas d'agréables compagnies. C'est la raison pour laquelle, il essaye de se faire discret. Voilà désormais un an qu'il a quitté les draps de sa créatrice. Il reste très attaché à elle, mais le désir de prendre sa nouvelle "vie" en main l'a poussé à l'émancipation. Il a donc décidé de s'installer, seul, dans son nouveau logement payé tout de même par Elle. Dedans, il peut se vouer à corps et âme et sans distraction à ce qui l'anime depuis sa tendre enfance : le dessin. Il réalise ses oeuvres chez lui à la main et les vend en ligne, sur sa pape dediée qu'il possède depuis quelques années et où il possède une certaine notoriété. Il lui arrive aussi de réaliser des créations sur ordinateur pour des publicités, des marques. Et pour complèter le tout, il reçoit de manière ponctuelle quelques curieux ou fous qui désirent apprendre le dessin par son enseignement que ce soit durant des cours privés ou des cours collectifs de 6 ou 7 élèves.

Le jeune vampire se veut discret et, surtout, il ne veut pas attirer l'attention de la fédération. C'est la raison pour laquelle il a accepté la puce. Il accepte uniquement des élèves humains et vampires pour minimiser au maximum les problèmes. Tous sont au courant de sa nature de "vampire", mais ils ne sont pas du genre à le crier sur tous les toits.

ACCEPTEZ VOUS LE DESTIN : Oui
ÂGE : 24 ans
SURNOM : Mat
COMMENT VOUS AVEZ NOUS CONNU ? : Par Caïn et j'étais sur London et Ténèbres
UN PARRAIN ? : //
D'AUTRES PERSONNAGES ICI ? : //
CREDITS : Chrollo Lucilfer (Hunter x Hunter) par l'artiste RainNoir
UN COMMENTAIRE ? : Merci pour le retrait des overflow héhé